Expatrié au Québec : 5 conseils concrets pour mieux manger sans perdre ses repères

Salut, moi c’est Anaïs.

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Expatriée au Canada depuis bientôt 5 ans, j’ai atterri pour la première fois à Toronto, en plein Covid, après un vol direct depuis Marseille. Bon, ce n’était pas ma première expatriation, mais clairement la plus… déconcertante.
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L’effet WHOAA des grands buildings canadiens (vides à ce moment-là), du rythme pro effréné, du télétravail imposé, et surtout… des supermarchés vraiment très grands. C’est là que j’ai réalisé que bien manger dans un nouveau pays, ce n’était pas si simple. En toute transparence, je ne savais même plus différencier une bonne tomate d’une mauvaise. Issue d’une famille méditerranéenne, mon réflexe quand je cuisine, c’est l’huile d’olive: la vraie, celle qu’on verse généreusement sans mesurer. À Toronto, elle était soit introuvable, soit hors de prix. Évidemment, ce n’est pas la seule raison qui m’a poussée à poser mes valises à Montréal… mais elle mérite d’être mentionnée, non ? Depuis, j’ai décidé d’accompagner les expatriés à retrouver une alimentation saine, simple, et surtout rassurante, même à des milliers de kilomètres de leurs repères. Et voici ce que j’aurais aimé qu’on me dise à mon arrivée :

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Conseil 1 : Apprivoise les produits locaux

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À l’arrivée, les rayons peuvent sembler démesurés. Mais en testant petit à petit des produits
québécois (kale, canneberges, légumineuses, sirop d’érable...), on apprend à cuisiner
différemment. Mon astuce ? Remplace tes habitudes en découvrant de nouvelles saveurs.

Conseil 2 : Adapte tes habitudes sans tout changer

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Pas besoin de repartir de zéro. On peut transformer ses recettes habituelles avec ce qu’on
trouve ici : une quiche avec du tofu soyeux, un gratin avec du cheddar ou du fromage en
grains. Le but, c’est de garder ses repères tout en s’adaptant, puis honnêtement si tu
habites Montréal on trouve pas mal tous les produits français ici.

Conseil 3 : Organise-toi pour éviter les plats ultra-transformés

Les plats tout prêts sont tentants… mais souvent très salés, sucrés ou bourrés d’additifs. En
préparant quelques bases maison le week-end (légumes, céréales, protéines), on gagne du
temps la semaine et on mange mieux sans se compliquer la vie.

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Conseil 4 : Lis les étiquettes autrement qu’en France

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Ici, les emballages sont différents : on parle de % de valeurs quotidiennes, et les portions sont minuscules sur l’étiquette en comparaison à ce qu’il y a dans l’intégralité du produit. Savoir repérer les sucres ajoutés et comprendre les listes d’ingrédients permet de faire des
choix plus sains au quotidien.

Conseil 5 : Fais-toi plaisir en découvrant une nouvelle culture

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Bien manger, ce n’est pas être parfait. Goûter la poutine, tester de nouveaux restos ou brunchs, c’est aussi s’intégrer. L’important, c’est de garder du plaisir dans l’assiette, sans pression ni culpabilité. Pour en savoir plus sur le conseil numéro 5: contacte-moi j’ai des bons plans qui pourraient te plaire!

Ah et aussi, j’oubliais! Si tu es toujours perdu.e après ses 5 conseils, saches que je propose des accompagnements personnalisés et je peux même faire l’épicerie (ici on dit l’épicerie et pas les courses) avec toi pour t’aider à mieux comprendre les étiquettes.

Au plaisir de te croiser sur mon compte Instagram @citron_croquant‍

Anaïs.

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